• Le ronflement est un bruit d’une faible intensité
  • FAUX
    Un ronfleur moyen produit un son de 60 dB, ce qui est l’équivalent du bruit d’un aspirateur. Certains ronflements peuvent atteindre une fréquence de 100 dB, qui est l’équivalent du passage d’un camion.
  • L’excès de poids favorise le ronflement
  • VRAI
    En effet, toute surcharge pondérale tend à rétrécir les voies aériennes supérieures en exerçant une pression sur celles-ci, ce qui provoque une respiration bruyante. Neuf ronfleurs sur dix sont en surpoids.
  • Ronfler n’a aucun impact sur la santé
  • FAUX
    Le ronflement est largement subi, en l’occurrence par l’entourage du dormeur, mais rarement considéré comme sérieux alors qu’il peut être le symptôme caché d’un trouble du sommeil : l’apnée du sommeil. Ce trouble grave se caractérise par des ronflements intenses suivis de pauses silencieuses (10 secondes environ) qui se révèlent être des arrêts respiratoires durant le sommeil. Les conséquences peuvent être multiples : somnolence en journée, maux de tête matinaux et irritabilité. Tous les ronfleurs ne souffrent pas de ce trouble du sommeil, mais certains ronflements, surtout ceux suivis d’une pause, ne doivent pas être pris à la légère. Dans ce cas, il est recommandé de consulter un médecin.
  • Chanter diminue l’intensité des ronflements
  • VRAI
    Le chant renforce les muscles de la gorge et aide à limiter les ronflements. Pratiqué vingt minutes par jour, il diminue significativement l’intensité et la récurrence des ronflements.
  • Il n’y a pas de traitement pour les ronflements
  • FAUX
    Le ronflement autre qu’occasionnel peut et doit être traité. Pour limiter les ronflements, il est nécessaire d’adopter une bonne hygiène de vie, de limiter la consommation de tabac et d’alcool, et si besoin de perdre du poids. Pour une action rapide et prolongée, Nuizz Ronflement agit directement sur les tissus de la gorge en les tonifiant et en améliorant la respiration.
  • Siffler est une bonne solution pour stopper le ronfleur
  • FAUX
    Siffler, piquer ou bousculer l’autre stoppe le ronflement mais cette stimulation provoque le réveil du ronfleur qui passe alors du sommeil profond au sommeil superficiel. Le ronfleur accusera au matin une fatigue due à un mauvais sommeil. Mieux vaut limiter ces réflexes ou essayer de mettre l’autre sur le côté.
  • La fatigue est le principal facteur de ronflement
  • FAUX
    Surpoids, tabagisme, consommation d’alcool ou encore de somnifères comptent autant comme facteurs de risque qu’une intense fatigue. Chacun a un impact plus ou moins modéré sur le phénomène du ronflement. L’alcool et certains somnifères ont une influence directe sur le système nerveux et accroissent le relâchement musculaire pendant la nuit. De la même manière, le manque de sommeil provoque une augmentation de la quantité de sommeil profond, un stade où le relâchement musculaire est maximal, et le ronflement plus important. Enfin, la position allongée sur le dos est elle aussi en cause puisqu’elle entraîne la langue vers l’arrière du palais, ce qui réduit le passage de l’air.
  • La position durant le sommeil n’a aucune influence sur la fréquence des ronflements
  • FAUX
    Dormir sur le dos favorise les ronflements car dans cette position le voile du palais se positionne vers l’arrière et obstrue davantage la respiration. Mieux vaut donc dormir sur le côté, voire sur le ventre.